Quand se lèvent les huniers de l’aurore
Quand se lèvent
les huniers de l’aurore,
je redécouvre le sang du souffle
contre les parois de l’horizon
que
traversent les pies-grièches, et
je deviens à nouveau
l’humble rose de ton sourire,
la caresse d’une mousse
sur
la mer de nos liesses,
je m’ incline
devant la coupe de tes mains,
le vol des pampres
parmi
la pénombre de ta pénombre,
et j’attends en tremblant
l’absolution de ton amour
que j’irai chanter
dans les bocages du Maine,
Toi,
la Femme de mes rêves
au buste d’arrogance,
et à la jupe odorante,
Toi mon soleil, ma Muse
au langage de soupirs et de ruisseaux
qui nourris le mystère
et la clarté de mes émois !
Sophie Rivière
Quand se lèvent
les huniers de l’aurore,
je redécouvre le sang du souffle
contre les parois de l’horizon
que
traversent les pies-grièches, et
je deviens à nouveau
l’humble rose de ton sourire,
la caresse d’une mousse
sur
la mer de nos liesses,
je m’ incline
devant la coupe de tes mains,
le vol des pampres
parmi
la pénombre de ta pénombre,
et j’attends en tremblant
l’absolution de ton amour
que j’irai chanter
dans les bocages du Maine,
Toi,
la Femme de mes rêves
au buste d’arrogance,
et à la jupe odorante,
Toi mon soleil, ma Muse
au langage de soupirs et de ruisseaux
qui nourris le mystère
et la clarté de mes émois !
Sophie Rivière
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